Aujourd’hui tiraillé par un mercantilisme généralisé ou la consommation à outrance devient le salut ultime, ou le paraître prend le dessus sur l’être, ou la fin justifie les moyens, il est du devoir de chacun de remettre l’homme au centre de la question.
Comment ne pas rester indifférent en ces temps de crise financière, depuis les Etats-Unis ou le modèle du « American way of life » est profondément remis en cause avec la crise des sub-primes jusqu’en Europe qui porte le boulet du mauvais élève Grecque berceau de la démocratie.