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Ainsi se profile, dans le recueillement et la piété, au milieu de ces pieux réformateurs, l’image de Muhammad Ibn ‘ Abdullâh (saws), celui qui fut chargé de communiquer le dernier message divin, ce confluent où viennent s’entremêler les dogmes et les vertus censés réaliser le bien-être de l’humanité en tout temps !

Il est l’incarnation vivante des Idées suprêmes. Certes, il t’est facile de le reconnaitre au Livre qui lui fut révélé, et à la sagesse foisonnant dans ses propos. Mais, tu ne pourrais accéder à sa personne, que si tu te fixais comme but suprême, les valeurs …

Après la mort, aujourd’hui du brillant penseur Roger GARAUDY, auteur, entre autres ouvrages, de « Parole d’Homme », « comment l’Homme devint humain », « Paroles aux vivants », je ne peux que saluer la mémoire d’un homme à la plume, aux idées et au parcours prolifiques qui a embrassé l’Islam en 1980.
Il est tombé sous le coup d’une condamnation pour négationnisme avec son livre « Les mythes fondateurs de la politique israélienne». A-t-il eu tort en y affirmant des propos qui l’ont mis sous le coup de la loi ? Certainement. Est-il un homme que l’on réduirait à cette seule position ? Ce serait de l’injustice.

Nous allons parler aujourd’hui d’une nouvelle station d’épuration spirituelle, à savoir, le « tawakkoul ».

Le « tawakkoul » constitue l’une des branches de la foi. Le « tawakkoul » signifie le fait de placer ta confiance en Dieu, de t’en remettre à Lui dans tout ce que tu entrepr- ends ; de Lui déléguer toutes tes affaires. Le « tawakkoul » est une action du cœur ; une qualité fondamentale de la foi ; l’une des plus importantes dimensions de la religion, au point où l’imam Ibn al-Qayyim l’ait qualifié de la moitié de la religion …

Méditez cette expression « … qui craint ou redoute le Miséricordieux », Dieu n’a pas dit « qui redoute le dominateur suprême (al-qahhar) » ou « qui craint le Tout Puissant (al-jabbar) », il dit plutôt « quiconque craint le Tout Miséricordieux ».

L’imam Abou Hamid al-Ghazali dit : « Dieu a voulu par là susciter le sentiment de crainte accompagné d’un sentiment de sécurité, Il a voulu susciter une réaction dans l’apaisement. Ainsi, Il na pas voulu associer la crainte aux noms évoquant Sa majesté et Sa grandeur, mais plutôt aux noms évoquant sa beauté et Sa bonté »

              La religion musulmane nous à enseigné que Dieu, Exalté, est Un dans son essence et dans Ses actes et qu’ Il est infiniment supérieur aux êtres créés ; elle a établi la preuve que le monde a un Créateur et que ce Créateur possède les attributs sublimes dont Sa création porte la marque tels que la science, la puissance, la volonté, etc…; qu’ Il ne ressemble en rien à ses créatures et que le seul rapport entre Lui et elles c’est qu’elles existent par Lui, qu’elle Lui appartiennent et qu’elles reviendront à Lui. «Dis : Il est le Dieu unique, le Dieu qu’implorent tous ceux qui sont dans le besoin, Il n’a engendré et Il n’a pas été engendré. Il n’a pas d’égal.» (Coran S112, V 1,2,3,4).           Quand aux expressions « son visage», «ses mains», «son ascension au trône » et d’autres semblables, les Arabes auxquels s’adressait…

L’Islam comprend des enseignements qu’il peut être utile de soumettre à tous ceux qui défendent la dignité des animaux. Le Coran affirme ainsi : « Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communautés. » (Coran, 6,38). Cela signifie que les espèces animales bénéficient du statut de créa- ture, tout comme les êtres humains.

Le Prophète Muhammad lui-même s’est exprimé très clairement sur ce thème en de nombreuses occasions. Il dit un jour (…) lire la suite

La réforme des sociétés ne peut se produire qu’en fonction de la réforme des indivi- dus, de même que l’édifice ne peut s’élever qu’en s’appuyant sur des pierres saines. L’individu est pour la société ce que la pierre est pour l’édifice. Mais l’individu ne peut se réformer sans réformer son âme. L’âme est donc la base de la réforme et de la bonté humaine, et c’est pour cette raison que nous poursuivons nos discours sur la purification de l’âme.

L’être doit œuvrer pour la purification de son âme, pour l’épuration de son cœur …

Un imâm, un savant doit être un homme de son époque vient-on de souligner dans l’article précédent ; on ne peut évaluer la pertinence ou l’impertinence d’un Ibn Tay- miyyah, par exemple, sans l’avoir replacé dans son environnement social, culturel, religieux, et parfois même économique. C’est dire qu’il est urgent que les « sciences humaines » prennent leur place centrale dans l’enseignement des sciences dites « re- ligieuses » parfois transmises en toute déconnexion de leur environnement.

Le changement de contexte : islam occidental, européen, américain, nécessite …